La société Reality Labs du géant du web market, Marck Zuckerberg, créateur du célèbre réseau social Facebook, a présenté ses travaux sur son bracelet à électromyogramme. Une invention qui immerge l’humanité dans l’univers futuriste de la réalité virtuelle.
La création de Facebook sert à: “décoder les signaux au niveau du poignet par rapport à des actions que vous avez déjà décidé d’entreprendre, et de les traduire en commandes numériques pour votre appareil”. Par le biais d’un processus couplé à un algorithme de machine learning (Système d’apprentissage automatique), ce système repère les signaux nerveux envoyés du cerveau aux muscles. Sans la moindre intervention humaine, à partir des données saisies par l’utilisateur, sur son clavier, le bracelet neuronal se met à jour automatiquement.
Si Facebook est satisfait de son produit, les critiques grondent. En effet, cet outil révolutionnaire offre, à la firme, un accès aux informations privées de ses utilisateurs.
le géant du web est, souvent, au cœur de scandales. La retentissante polémique de Cambridge Analytica est, encore, dans les mémoires vives. Pour rappel, lors de la campagne présidentielle états-uniennes de 2016, les données de plus de 50 millions d’utilisateurs se sont retrouvées dans les mains du cabinet d’analyse . Campagne à l’issue de laquelle Donald Trump est sortie victorieux. Les temps suivants, c’est plus de 50 millions de comptes d’utilisateurs piratés dans ce que Facebook a appelé “une faille de sécurité”! Ces chiffres ahurissants nourrissent les appréhensions des utilisateurs.
Assistons-nous à un énième scandale du géant du web ? il est encore trop tôt pour le dire. Les seules choses certaines sont les perspectives ouvertes par ce nouvel outil. Les promesses qu’il susurre à l’oreille semble annoncer les prémisses d’une nouvelle ère technologique.
Marie Axelle Tano
Rédactrice
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